Investir son énergie dans la qualité de l'air intérieur
Comment concilier QAI et économies d’énergie ? Quelles obligations pour les bâtiments publics ? Pour quels bénéfices ?
Conception - Dimensionnement
Mise en oeuvre
Entretien - Maintenance
À propos du contributeur
Le Cerema, établissement public relevant du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, accompagne l’État et les collectivités territoriales pour l’élaboration, le déploiement et l’évaluation de politiques publiques d’aménagement et de transport.
Les métiers du Cerema s'organisent autour de 6 domaines d'action complémentaires visant à accompagner les acteurs territoriaux dans la réalisation de leurs projets : Expertise et ingénierie territoriale, Bâtiment, Mobilités, Infrastructures de transport, Environnement et risques, Mer et littoral.
Résumé
Un air intérieur de bonne qualité est une notion objective définie par le code de la construction : c’est un air qui ne provoque pas d’inconfort, ne met pas en danger la santé et la sécurité des personnes et dont le taux d’humidité n’induit pas de condensation, sauf de façon passagère. Or, l’air intérieur peut contenir des polluants affectant les occupants, de la simple gêne olfactive aux pathologies aiguës ou chroniques : pollutions physiques (fibres provenant des matériaux de construction, particules fines d’origine extérieure, radon…), biologiques (acariens, pollens, moisissures, insectes, virus, bactéries) ou chimiques (monoxyde de carbone, ozone, composés organiques volatils et semi-volatils, etc.).